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Histoire de Bondage: La fille au bord de la route [Inconnu]

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Message  Chapelier Fou /Mad Hatter Lun 29 Déc - 3:12

La fille au bord de la route [Inconnu]

*****CHAPITRE 1*****
Voici une vieille histoire son auteur est un Illustre Inconnu ( à mon grand regret je n'ai pas retenu son nom Embarassed )
Si quelqu'un est en contact avec lui, merci de lui signaler que son histoire est publié et que j aimerais recevoir une confirmation de sa part pour une autorisation de publication de cette histoire.
Je remercie encore une fois cet Illustre Inconnu pour son histoire, de nous avoir tenu en haleine tout le long de son récit et Canuck pour tout ce qu'il a fait en tant qu'administrateur du (disparu) site histoires de ligotages et qui vient de temps en temps nous rendre visite.
P.S: merci encore mille fois à Bondthong (membre d'un autre forum) pour avoir partager les deux premiers paragraphes qui manquaient à l'histoire.
Sur ce bonne lecture





Je rentrais chez moi au volant de ma voiture, quand une envie me fit m'arrêter sur le bas coté.

Ah ça fait du bien, je m'apprêtais à remonter quand j'entendis un bruissement derrière les buissons, intrigué j'allais voir ce que c'était... Ô c'est plus beau qu'un cerf, c'est plus beau qu'une biche, c'est une magnifique femme d'une vingtaine d'année qui s'enfonce dans les bois avec un sac. Que pouvait faire une femme pour vouloir autant se cacher? Je la suivais à distance quand elle s'arrêta dans une clairière, elle regarde autour d'elle, satisfaite elle se déshabille, je la trouve encore plus belle. Puis elle sort des cordes de son sac. Aurais je pu m'attendre à ça de la part d'une femme?

Elle prend alors quelque chose et pars une à vingtaine de mètres delà. Je la vois poser quelque chose au pied d’un arbre, je comprends qu’il s’agit d’une paire de ciseaux. Elle revient, s’assoit, sort une corde et commence à s’attacher les chevilles, puis les genoux. Elle lie à ses chevilles un coulant dépassant à peine de quelque centimètres. Cette magnifique déesse prend alors une longue corde avec laquelle elle se confectionne un harnais assez solide au niveau de la poitrine, croisant par devant, relevant ses seins si jolis.

La fille prend alors un de ses tissus, qu’elle s’enfonce dans la bouche, puis prend l’autre, et elle se l’attache serré derrière sa tête. C’est si beau… Je la vois alors se coucher par terre saisir la corde dépassant de ses chevilles et venir l’attacher au harnais qu’elle a confectionné. Finalement, de ses mains encore libre, elle se redresse, regarde autour d’elle puis satisfaite, elle se recouche, prend une corde qu’elle avait enroulé sur elle-même y passe ses poignets dans son dos, de chaque côté du nœud coulant, et finalement tire sur la corde.

Elle teste ses liens, se retourne, tente de défaire le nœud de ses chevilles. Elle s’agite agite à la limite de ce que ses propres coudes lui permettent. Comme c’est beau… son corps parfait entouré de cordes, lui va parfaitement. J’avais chez moi de nombreuses photos de femmes ligotées, mais je n’en avais jamais vraiment pu le faire en vrai. Je vois la pointe de ses seins se redresser, elle s’excite. Je l’entends faiblir faiblement de bonheur.

Après une dizaine de minute passé à la regarder se débattre dans ses liens, elle s’arrête essoufflée. Elle reste là étendue sur le flan, les yeux fermés, semblant savourer son bondage.

C’est bien dommage qu’elle n’ait pas trouvé de partenaires encore. C’est dommage de la voir seule comme ça dans les bois... Je me dis qu’elle devrait être avec quelqu’un…

Ah ben ça tombe bien, je suis là ! Je décide de passer à l’action. Je me relève prudemment,
Marchant jusqu’à la paire de ciseaux. La fille n’a rien remarqué. Arrivé, je me baisse, ramasse la paire de ciseau et je m’approche silencieusement de la fille.

Arrivé à deux mètres d’elle, je m’arrête. Il ne suffit qu’elle ouvre les yeux pour me voir.
<<Tu t’amuses?>> lui lançais-je le sourire au lèvre.

Elle ouvre les yeux et se tend brusquement dans ses liens. Elle me voit et pour un <MMMMFFFFG>> affolé. Elle se met à tirer brusquement sur ses liens, paniquée, roule sur le sol en gémissant. Je la regarde et la trouve plus belle, comme ça.

Je m’accroupis près d’elle, pose doucement la mains sur son épaule. Elle me regarde à nouveau avec des grands yeux.

<<Allez, t’inquiètes, je ne te ferai pas de mal>> Elle semble se calmer mais respire toujours très fort. <<Je connais ça les liens moi aussi je t’ai croisé par hasard tout à l’heure et je t’ai suivi.>> Elle se détend un peu plus, mais dans son regard je sens encore une grande méfiance.

<< Ça me fait plaisir de te rencontrer. Tu as un petit ami ? lui demandais-je, la main toujours posée sur son épaule chaude. Elle fait un signe de dénégation. <<Bien alors je t’amène avec moi ! On va apprendre à se connaître un peu mieux toi et moi>>

<< MMMMFFFF>> Elle se remet à se débattre de manière affolée. La laissant faire, je ramasse les affaires traînant autour d’elle, la saisis soudainement et la pose sur mon épaule. Elle se débat en gémissant le plus fort qu’elle peut sous son baillon.

<<Allons, tout de même, je ne vais pas te faire de mal. Je t’ai dis que je voulais qu’on se connaisse mieux, c’est tout. Allez, calmes-toi. >> Je la sens qu’elle s’apaise dans ses liens.. Je crois qu’elle à compris qu’elle était tombé. À l’orée de la forêt je regarde autour de moi, m’avance jusqu’à la voiture, ouvre la portière arrière et la pose sur la banquette, comme ça. Je prend les trois ceintures que je sangle fermement pour la maintenir bien calée sur le siège. Je ne veux pas qu’elle tombe !

Bien, elle est tranquille. J’embarque au volant et démarre le moteur. Direction, chez moi!

******************
*****CHAPITRE 2*****

J’éprouvais quelques difficultés à me mettre face à cette étrange situation qui s’était présentée à moi. Je me retrouvais en train de conduire chez moi, avec une superbe fille ligotée en hogtie sur la banquette arrière. Celle-ci était attachée d’autant plus étroitement que j’avais sanglé les trois ceintures sur elle : ses épaule et sa taille pressées contre le siège, les chevilles rabattues au maximum avec la dernière attache, elle ne risquait pas d’aller bien loin!

Mais je ne connaissais même pas son nom. Ah! Et puis, peu importe. On passera un bon moment ensemble et on verra après. Je quittai la route pour m’engager sur le chemin cahoteux qui mène vers ma maisonnette.

<< mmmffffggg >> me lança ma compagne de route. Elle ne devait pas apprécier beaucoup de subir les secousses de la route comme ça.

<< Pardon ? >> lui lançais-je. << MMMPPPHHHHH >> gémit-elle plus fort. <<Ah! Désolé je ne te comprend pas! lui dis-je. Frustration apparente à l’arrière de la voiture. J’abaissai mon miroir central pour la voir essayer d’atteindre un nœud pour se défaire les poignets. Prise comme elle l’était par contre, je ne m’inquiétait pas de l’efficacité de son propre bondage.

Et comme c’était beau … Je la voyais nue, ligotée serrée dans ses cordes de chanvre, sanglée contre le siège. Elle se débattait autant que le peu de jeu des cordes le lui laissait. Bien au centre, je voyais ses fesses bien rondes, sur lesquelles s’appuyaient ses poignets… Encore quelque kilomètres et je pourrais en profiter un peu…

J’appuyai brusquement sur le frein et braquai le volant, la vision de cet ange ligotée sur la banquette arrière m’avait tellement distrait que je n’avais pas fait attention à la route, et je n’avais pas fait attention au virage. << MMMMMMFFFFF >> hurla-t-elle à travers son baillon, frustrée. Je ne pris pas la peine de répondre. Sanglée comme elle l’était, elle ne s’enfuirait pas! Et, dans le fond, il va falloir qu’elle s’habitue un peu… C’est moi le maître, pas elle…

Arrivée. Ma maison est en fait une maisonnette en bois rond. Un rez-de-chaussée, un étage. Y ayant aménagé depuis peu, il restait beaucoup de travaux à faire à l’intérieur. Les poutres de bois massives sillonnaient les plafonds, d’autres servaient à les soutenir. Je défit les ceintures qui retenaient mon invitée, la tirai hors de la voiture et la remis sur mon épaule. Revenu à l’intérieur, je la redéposai sur le sol, dans le salon.

<< Ça va ? >> lui demandais-je. Elle hocha la tête en signe d’assentiment. Je parti alors dans ma chambre, au deuxième étage, aller lui chercher un gros sac contenant tout mon matériel. Cordes, sangles, baillons, cagoules, etc… J’avais accumulé beaucoup de stock durant toutes ces années. Je revins et sorti une corde ce sur quoi elle me lança un regard mi-interrogateur mi-angoissé. Lui passant au niveau des coudes, je les rapprochai très près l’un de l’autre, jusqu’à entendre un gémissement m’indiquant qu’elle avait atteint sa limite.

Excellent. Je commençais à caresser doucement ses cheveux, les ramenant derrière ses oreilles, puis son cou. Sa peau était d’une douceur exceptionnelle et dégageait une odeur enivrante. Elle essaya de se soustraire à mes caresses, mais s’en révéla physiquement incapable. Ligotée comme elle l’était, elle pouvait à peine ramper sur le sol ! Ma main suivi sa chevelure contre son gré. << mmmmfffff >> grogna-t-elle, frustrée. Je la laissai tomber sa tête pour m’amuser un peu avec ses fesses, les palpant, les caressants. Ses doigts essayaient à m’attraper la main dans une vaine tentative de se soustraire à mon contact. Je devenais de plus en plus excité, alors qu’elle se mit à se débattre de plus en plus furieusement dans ses liens en lâchant des grognements furieux. Bon, elle avait trop de principe celle-là, on allait arranger ça…

Je la saisis brusquement pour la retourner sur le flanc, sa magnifique poitrine m’étant offerte. Mon doigt se plaça au milieu de son cou pour redescendre lentement jusqu’à ses seins, passant entre ceux-ci. Cette demoiselle était fort combative! Elle tentait de se débattre, tirait sur ses liens gémissait du plus fort qu’elle pouvait.

Je me mis alors à caresser plus doucement ses seins, qui durcirent très rapidement. À l’évidence malgré ses grognements, la situation lui plaisait beaucoup! Je me mis à caresser l’abdomen, puis les cuisses. Je revins à sa poitrine, me mit à jouer avec la pointe de ses tétons. Ses gémissements changèrent de tonalité ; elle ferma les yeux pour savourer le plaisir de la situation.

Quant à moi je devais bien l’admettre, j’étais bandé comme un cheval. Cette situation m’excitait au plus haut point. Je poursuivi mes caresses sur elle, retournai encore à ses cuisses, ses fesses… je passai le doigt sur sa chatte. Avoir une si belle fille ligotée devant moi est un évènement tellement prodigieux et fabuleux : mon cerveau ne fonctionnait plus, seules mes mains décidaient de la suite des évènements…

Je dus me faire violence pour arrêter les caresses et me relever. Elle me regarda émit un furieux << MMMMMPPPPHHHH >>, devant mon arrêt. Elle tira sur ses liens, fâchée, à l’évidence, que je ne sois pas allé plus loin.

Ah mais je ne comptais pas m’arrêter, bien au contraire. Mais il fallait faire durer le plaisir un peu.

<< Ça te dirait que tu t’invites à ma table, ce soir? >> questionnais-je. Elle me lança un regard interrogateur. << De toute façon tu n’as pas le choix >> ajoutais-je, sarcastique.

Je tournai les talons pour me diriger vers la cuisine. J’entendis un << MMMMMFFFFFGG >> intense derrière moi. Elle ne voulait pas que je la laisse comme ça. Mais oh, j’allais revenir quand même, qu’est-ce qu’elle pensait ?

Et qui sait, qu’est ce je pourrai lui faire subir maintenant ? Je me retournai avant de quitter le salon. Quelle fantastique muse, ligotée au milieu du salon. Son regard exprimait maintenant de la résignation ; c’était tout ce qu’elle pouvait me dire. Ah mais oui ma jolie, je veux que tu te résignes… Attend de voir ce qui t’attend toute à l’heure, là ce n’était qu’un bref échauffement…

*****FIN CHAPITRE 2*****

*****CHAPITRE 3*****

Ah ! Mais c’est vrai, elle est totalement nue cette fille! Il ne faudrait pas qu’elle est froid. Je revint avec une grosse couverture de laine et alors qu’elle se débattait comme une furie, la jetai bêtement sur elle, la couvrant totalement. << MMMMMPHHHHH >> la colère grondait là-dessous.

Une excellente idée me vint à l’esprit quand j’entrain dans la cuisine. J’entendais la fille gémir dans le salon en se débattant. Après une quinzaine de minutes, les bruits cessèrent. Excellent.

Dans la phase finale de préparation, je retournai la voir. Comme la vision fut satisfaite : durant les quelque 25 minutes ou j’étais entrain de préparer le repas, elle n’était pas parvenue à se déplacée d’un iota. Elle restée étendue à l’endroit exact ou je l’avais laissée. Je tirai sur la couverture et découvrit une légère odeur de transpiration féminine. Sa peau était recouverte désormais d’une fine couche huileuse, ajoutant à sa beauté. Elle m’interrogea du regard, inquiète. Je me baissai et lui mis un bandeau bleu sur les yeux, que j’attachai bien serré derrière la tête.

Glapissant, elle tenta de se soustraire ; évidemment elle n’y parvint pas. Je détachai la corde qui retenait ses chevilles à son harnais, libérant le hogtie. Coupant la corde reliant ses chevilles à ses poignets, je la saisi une nouvelle fois pour la prendre dans mes bras. Je traversai la maison pour l’asseoir à une chaise de la cuisine.

Cette chaise était une peu spéciale. En plus d’y avoir pratiqué une sorte de trappe en dessous du banc, les deux accoudoirs étaient pensés spécifiquement pour le bondage. J’avais placé des attaches de cuir pour les poignets et les coudes, ainsi que des anneaux sur les côtés pour pouvoir passer des cordes et immobiliser mes éventuelles victimes dessus. Il y avais aussi des attaches au niveau des chevilles, aux genoux (pour garder les jambes écartées), etc. mais je ne comptais pas m’en servir comme ça aujourd’hui.

Je plaçais tout d’abord ses bras liés derrière le dossier, puis saisit une corde afin de rabattre ses jambes en-dessous de la chaise, les reliant à ses poignets. Puis je pris quelque sangle que je plaçais au niveau des cuisses, des hanches et de la poitrine. Elle était maintenant collée contre la chaise, les sangles ne lui laissant aucun jeu.

Je défit un loquet présent sous la chaise, qui en ouvrait une petite trappe placée juste au bon endroit. Elle glapit en découvrant qu’un trou laissait le centre de ses fesses bien à découvert, tentant de se soustraire à ses liens. Je passai la main sous la chaise, venant caresser doucement son clitoris. << MMMMMFFFFF >>. Tout en lui titillant son clito mon autre main se mit à caresser doucement sa hanche droite, remontant vers les épaules et le cou, pour redescendre vers ses seins. Sa peau était huileuse avec la transpiration que lui avait causé la couverture. Elle se débattait comme une forcenée en hurlant sous son baillon, mais elle était totalement à ma merci. Je revins alors qu’elle se débattait encore, avec un vibro assez gros dans les mains. Ne voyant rien elle ne put prévoir le pénis vibrant qui s’inséra sans coup férir entre ses cuisses. Elle semblait furieuse mais je ne comptais pas me priver ! Je rentrai totalement l’objet de 20 centimètres dans son vagin humidifié et refermai la trappe en dessous.

Ma captive devait me lâcher toute sorte d’invectives sous son baillon. Peu m’importait, il faudrait qu’elle apprenne à aimer sa condition. Elle se débattit encore un peu, puis se fatigua et s’arrêta, attendant que je décide de la suite pour elle. Elle respirait encore fort, angoissée.

J’avais préparé une fabuleuse fondue au chocolat. Je savais que c’était aphrodisiaque, ça allait l’aider autant que moi ! L’odeur enivrante de fondue posée sur la table m’atteignait autant qu’elle. Debout derrière elle, je détachai lentement le long tissus qui retenait le mouchoir pris dans sa bouche, puis retirait conscieusement ledit mouchoir. Elle articula la mâchoire, contente de pouvoir la bouger après deux bonnes heures baillonée sévèrement.

<< Je…. >> commença t-elle. Je plaçai immédiatement sa main sur sa bouche. << MMMMPPPPHHH >> lâcha-t-elle, remuant sa tête dans tous les sens. Mais j’appuyai la main plus fermement encore, puissamment excité. Cette fille était fort combative, elle se débattit encore pendant une bonne minute, la tête prise entre mes deux mains qui la baillonaient sévèrement. Puis, elle ralentit, attendant la suite des évènements.

Gardant une main appuyée sur sa bouche, je trempai une grosse fraise bien mûre dans la fondue et retira ma main. Je remit ma main sur sa bouche dès qu’elle pris la fraise, la laissant mastiquer. À la bouchée suivante, un bout de chocolat bien chaud tomba sur son sein gauche. Elle poussa un gémissement de surprise. Je m’abaissai pour lécher le chocolat fondu sur son sein. Par la suite je fis volontairement tomber du chocolat entre ses seins, sur une cuisse. Que de bons prétexte pour passer ma langue sur son corps. À chaque fois elle gémissait de surprise, ne voyant pas ce qui l’attendait.

Alors qu’elle mastiquait la sixième ou septième bouchée, ma mains toujours posée sur sa bouche, je pris un petit boitier sur la table et démarra le vibrateur. Elle faillit s’étrangler de surprise, due faire un effort surhumain pour avaler, et me lâcha un puissant << MMMPPPPHHHH >>. Elle tirait sur ses liens, tentait de bouger l’abdomen pour expulser le corps dérangeant. Je dus remettre mes deux mains pour parvenir à la bailloner efficacement. J’arrêtai le vibro, pris une autre bouchée que j’amenais à sa bouche. Le vibro lui avait tellement fait d’effet qu’elle eu de la misère à mastiquer et à avaler.

Par deux fois durant le repas je lui fis le même tour, et par deux fois elle gémit du plus fort qu’elle pouvait sous son baillon en tentant de se soustraire vainement à l’intru vibrant. À la fin je pris un gros ball gag rouge et lui mis alors qu’elle croyait attendre une autre bouchée, et lui sangla étroitement derrière la tête alors qu’elle hurla un nouveau << MMMMFFFGGG >>

Je décidai cette fois de faire partir le vibro au maximum de sa force, tout en la palpant. Ses gémissements changèrent de tonalité, alors que mes mains baladeuses caressaient sa poitrine offerte, son abdomen, le bas de son cou. Je la sentais s’échauffer, s’exciter, elle approchait de l’orgasme.

Je stoppai soudainement le vibrateur. Cette fois j’eu droit à une colère que je n’aurai pas aimé entendre si elle n’avait pas été baillonée! Elle semblait furieuse, la petite. Elle hurla le plus fort qu’elle pu malgré le ball-gag. Ah! La frustration continue!!

Je la laissai là pour revenir avec une paire de mitaines en cuir, que je cadenassai autour de chacune de ses mains. Elle s’était calmée un peu. Je desserrai les sangles pour la relever de la chaise, et je retirai le vibro. Direction, la salle de bain!

La pièce était très sobre, comme le reste de la maison d’ailleurs. J’avais fixé au plafond plusieurs gros anneaux aux poutres, suffisamment solides pour tenir le poids d’une personne. J’avais installé une grande baignoire/douche de plus de deux mètres de long. Ma victime, ne voyant toujours rien, ne savait évidemment pas ce qui se préparait pour elle. Je la déposais au centre de la pièce et revint avec une grande barre de bois avec deux anneaux fixés à chaque extrémité. Je défit tranquillement le lien des chevilles, puis des cuisses. Je sentais la fille s’être mise en alerte : sa respiration était un peu plus rapide, elle voulait probablement attendre le moment opportun pour retourner la situation en sa faveur. Je pris la barre et attachai ses deux pieds à chaque extrémité, les tenant toujours largement écartés.

Je la mis debout dans la baignoire, me plaçant dans la baignoire contre le mur, puis je repris deux cordes que je reliai aux mitaines de cuir que j’avais posées. Je fis passer chaque bout par les crochets situées au plafond pour les ramener devant moi. Lorsque ses bras seraient détachés il faudrait agir vite! Défaisant le lien des coudes, puis enfin des poignets, je tirai de toutes mes forces sur les deux cordes que j’attachai ensemble.

Cette petite déesse avait été trop bien épuisée par son bondage pour m’offrir quelque résistance. Je défit la dernière corde celle de son harnais. Sortant de la baignoire j’admirai le résultat.
Imaginez : vous avez devant vous une superbe femme d’une vingtaine d’années, nue, attachée en croix dans votre baignoire, avec un beau ball-gag dans sa bouche et un bandeau sur les yeux , et offrant à votre œil sa magnifique poitrine. Tout son corps m’était parfaitement accessible. Le soleil du crépuscule plongeait la pièce dans une couleur rouge-ocre, ajoutant à la beauté de ma victime.

Bah! Tant qu’à y être, je me mettre nu aussi ! C’est ce que je fis. Je partis l’eau chaude, et pris le pommeau de douche mobile. Avec ça je pouvais facilement rincer chaque partie de son corps.
M’approchant d’elle, je commençai à faire couler de l’eau chaude, sur ses cheveux son cou, puis ses seins et son dos. Au fur et à mesure je devenais de plus en plus excité.

Je pris alors le savon dans mes mains puis commença à le faire passer sur son corps. Sans retenue, je choisis de me coller littéralement contre son corps dénudé et chaud, pour passer le savon dans son dos. Elle eu un mouvement de recul au début mais se laissa faire cette fois. D’ailleurs ses seins se redressaient déjà, elle était elle-même fortement excité! Je baisai tranquillement le creux de son cou en continuant de la caresser avec le savon. Puis je me mis à nettoyer ses autres parties : ses seins, son ventre, ses bras et ses jambes et, finalement, je passai tranquillement le savon entre ses deux jambes. Cette fois elle eut un petit sursaut!

J’en profitai pour laver ses cheveux aussi… L’exercice m’excitait au plus haut point, j’avais beaucoup, beaucoup de difficulté à me contenir… Je me collai littéralement sur elle, l’enlaçant d’un bras, et me penchai pour lui murmurer à son oreille : << nous allons aller plus loin toi et moi… >>. Elle eu un gémissement faible qui me disait clairement : << oui, vas-y >>

Je raccrochai le pommeau de douche à sa fixation et l’enserrant puissamment d’un bras, je me mit de l’autre main à caresser doucement son bas ventre. L’eau chaude tombant entre nos corps rajoutait à la douceur de la situation. Je descendis ma main plus bas encore, caressant son clitoris déjà échauffé. Elle gémissait de plaisir, relâchant ses muscles.

Je pliai légèrement les genoux pour faire passer mon pénis sous elle et me redressai d’un coup. Mon gland, puis mon sexe en entier pénétra en elle, frottant sur ses lèvres. Mes caresses se firent beaucoup plus insistantes alors que je m’évertuais dans un fabuleux mouvement de va et vient.

Ses gémissements gagnèrent en intensité les miens aussi. Nos deux corps réchauffés par l’eau le devinrent encore plus. Elle tirait sur ses liens, balançait de la tête. Caressant ses seins, ses cuisses, mon mouvement se fit de plus en plus rapide.

Nous explosâmes enfin, ensemble. Je lâchai un cri de plaisir, elle hurla sous son baillon.

Je me retirai alors que ma petite déesse attachée pendait dans ses liens, exténuée.

****** FIN CHAPITRE 3*****
*****CHAPITRE 4*****

Il ne fallait pas en rester là, sinon elle allait reprendre des forces. J’allai chercher un cadenas que je mis sur une de ses mitaines, puis défis un nœud qui retenait les cordes tirant sur ses bras. En un éclair j’eu ramené son bras droit sur son poignet gauche et fit cliquer le cadenas. << mmmmffff >> grogna-t-elle, mécontente. Je desserrai l’autre corde pour ramener ses bras devant elle, et enroula celle-ci autour de sa taille pour maintenir ses mains plaquées contre son corps. Je l’amenai dans le salon pour la coucher en travers du sofa. J’allai chercher une corde pour lui lier les pieds à un bout, puis desserrai celle qui retenait ses bras plaqués pour les attacher à l’autre bout. La voilà donc, couchée, nue, la peau encore humide, et le tout m’offrait une vue des plus saisissantes. Moi-même nu, les pensées les plus grivoises assaillirent mon esprit.


Parti pour un film ! Je décidai de mettre une magnifique vidéo de bondage, montrant de jolies filles ligotées dans le latex. Je pris la peine de lui enlever son bandeau pour qu’elle puisse s’exciter devant le film comme moi. Je décidai de m’étendre derrière elle. Nos deux corps étaient maintenant collés l’un contre l’autre. Mes mains passèrent de chaque côté de sa poitrine pour revenir devant et l’enserrer contre moi. Le film venait à peine de commencer que j’étais redevenu très excité et mon cinquième membre avait de la difficulté à ne pas profiter de l’ouverture qui lui était offerte, et en plus qui était exactement au bon niveau. Son corps se remis à frissonner d’excitation, et je la vis fermer ses yeux.


Mon corps collé contre cette muse et le film devant nous m’excitaient au plus haut point. Mes mains parcouraient à loisir le corps dénudé de cette jolie fille attachée et impuissante. Après une vingtaine de minute, je n’en pouvais plus et mon membre n’eu qu’à traverser quelques centimètres pour pénétrer ma belle captive. Celle-ci eu un sursaut et lâcha un << mmmppphhh >> de surprise. Mais ne tarda pas à s’abandonner totalement au plaisir que procurait la situation et nous jouîmes violemment, l’un dans l’autre. Nos corps furent parcourus de spasmes quelques secondes avant qu’elle et moi ne nous détendions totalement. Ma belle ferma les yeux, apparemment épuisée, et j’avais de plus en plus envi de faire de même.

Je dû faire un effort pour me relever et délier les deux cordes qui la maintenaient étirée, pour la transporter dans ma chambre. Il était tard. Rendu là, je la posai délicatement sur le lit. Toujours endormie, je décidai d’e »n profiter pour lui enlever les mitaines et les remplacer par des cordes plus esthétiques.

Je venais d’ouvrir la deuxième mitaine quand soudainement, elle rouvrit des yeux pétillants et un large sourire fendant à travers le baillon Sa main attrapa mon poignet droit et, avant que je ne réalisai ce qui se passait, j’étais affalé sur le lit, elle derrière moi et tordant mon poignet dans mon dos. Elle s’assit sur moi et ramena mon autre bras derrière moi pour saisir une corde pour attacher en un éclair mes poignets en croix. Elle se retourna et m’emprisonna mes pieds d’un bras pour les lier rapidement ensemble. Je réalisai à peine ce qui se passait que j’étais déjà fortement entravé! Je tentais de me soulever pour la faire basculer mais elle se maintint sur moi tout en continuant à me lier les chevilles ensembles. Elle défit rapidement son ball gag pour me l’enfoncer dans la bouche. Il était énorme! Je secouais la tête pour tenter de l’en empêcher mais je ne pouvais pas bouger assez. Elle sangla fortement l’attache du ball gag. Elle saisit une autre corde que j’avais prévue pour elle et s’attaqua aux genoux, qu’elle lia au-dessus et en-dessous. Je tentai de hurler à travers mon baillon en réalisant qu’il était trop tard. J’avais totalement perdu le contrôle de la situation. Ma désormais ex-captive relia ensuite mes coudes ensemble, qu’elle accrocha à un harnais de cordes qu’elle me fit passer aux épaules. Finalement elle prit une autre corde pour me relier mes chevilles aux poignets puis au harnais, tirant au maximum qu’elle pouvait.

Voilà. J’étais maintenant totalement impuissant dans un solide hogtie. Mes gémissements trahissaient ma panique. Qu’est ce qui allait m’arrive ? Qu’allait-elle faire de moi? Combien de temps voulait-elle me laisser attacher comme ça? Après cette journée de douce torture que lui avais fait, après toute la frustration que je m’étais amusé à lui faire subir, elle allait sûrement se venger !

Tirant frénétiquement sur mes liens dans l’espoir de me libérer, je la vis s’asseoir au bord du lit pour délier ses jambes. Après quoi elle se leva pour s’étirer longuement, ignorant mes gémissements étouffés. J’essayais d’atteindre les nœuds mais je n’y arrivais pas. Mon cœur battait la chamade quand elle se retourna enfin vers moi :
<< Espèce de porc! >> S’exclama-t-elle. << T’es vraiment pas gêné pour abuser comme ça d’une inconnue que tu trouves dans les bois! Juste de me faire languir comme tu as fait, pendant des heures, je n’en pouvais plus. Même que t’es vraiment con. Tu t’imaginais vraiment que j’allais me laisser détacher complètement puis réattacher sans résister? >>

Je gémis un <<MMMMFFFFF >> à travers mon baillon. Je ne lui avais aucun mal! Elle avait même eu l’air de trouver ça plaisant! Je me mis à craindre de plus en plus ce qui allait arriver.

<< C’est vrai que tu ne savais pas que j’ai fait, et que je fais encore, du judo. Il faut dire que tu ne m’as pas laissé beaucoup parler. Dans cet art martial, on apprend très bien les techniques pour immobiliser son adversaire. Et, Oh, je vais me venger petit ça tu peux en être certain! Pour au moins les prochaines 48 heures tu es à moi. Et totalement à moi!! >>

Elle éclata d’un grand rire qui me laissa craindre le pire. Ma respiration était rapide, j’avais vraiment peur!

<< Moi C’est Valérie. Enchantée. Tu ne m’as pas dit ton nom encore mais comme tu sais je n’ai pas besoin de le savoir. Bon, je dois avouer que j’ai quand même trouvé cette journée extrêmement plaisante, donc quand même je ne vais pas te fouetter. Mais crois moi je n’ai pas l’intention de te libérer avant un bon moment. >>

Sur ce, elle sorti de la pièce. Je me forçai à me calmer pour tester plus méthodiquement mes liens. Je tentais d’atteindre le nœud entre les poignets mais je n’arrivai pas à le trouver. Je testai alors les chevilles pour me rendre compte que le lien qui refermait le hogtie était tellement court que je ne pouvais atteindre l’autre côté des chevilles. Si elle avait placé le nœud devant, je ne pouvais donc pas l’atteindre. Merde! Qu’est-ce que j’allais faire?? J’entendis la douche démarrer. J’avais donc au moins 15 minutes pour tester mes liens.

Rien à faire. J’avais beau tester chaque attache méthodiquement, que je ne trouvais aucune faille. Ah!! Enfin. En tirant à l’extrême les poignets j’arrivais à toucher le nœud qu’elle avait fait. Super!! Je m’évertuai à tirer sur le nœud pour le dégager. Du bout des ongles j’arrivai tout juste à gratter le nœud. Ça serait long mais je pourrais y arriver. La seule chose était qu’il fallait absolument que j’arrive à me détacher avant que Valérie ne finisse sa douche. Paradoxalement j’étais extrêmement excité. En plus j’étais tout nu, moi!

Trop tard. Je n’avais pas vraiment avancé que la douche s’arrêta. Merde. Bon, je décidai de faire le mort, espérant qu’elle ne se rendrait pas compte que j’avais trouvé un moyen de me libérer. Valérie entra dans la chambre la peau nue et encore humide. Ah vraiment, quelle femme j’avais trouvé… Elle se pencha sur moi pour vérifier les liens. << ah tu as trouvé le petit nœud entre les poignets! Attend petit futé on va t’arranger ça. >> Elle revint et me mit les mitaines de cuir sur chaque main. Bon. C’en était totalement fait de moi. Sans l’usage de mes doigts, je n’avais vraiment aucune chance. Mon destin était entre ses mains.

Elle me tourna sur le flan pour voir mon sexe en pleine érection. Elle, passa sa main sur mon torse, me caressant lentement. Mes gémissements trahissaient le plaisir que je ressentais. Puis elle atteignit mon pénis, qu’elle caressa aussi. Déjà dur il le devint plus encore. Mes gémissements gagnèrent en intensité et, comme je m’apprêtais à exploser de plaisir elle arrêta soudainement ses caresses.

Ah la salope!! Je gémis furieusement tant c’était frustrant. << Ahahahah petit mais c’est ce que tu m’as fait subir toute la journée!! Tu vas le subir toi aussi! >> << MMMPPPPHHHH >>, tentais-je de répliquer. Rien à faire. Elle prit trois nouvelles cordes qu’elle relia à mes genoux, à ma taille et à mon harnais ; Je la regardais faire et je ne comprenais pas, mais elle relia deux cordes ensemble dans un solide nœud et laissa la troisième libre. Ensuite elle en prit une autre qu’elle attacha à ce nœud pour la lancer par-dessus une des poutres qui passait au plafond. Ah non!! Elle se mit à tirer sur la corde pour me faire lever du lit progressivement. Ainsi elle me souleva tout d’abord le haut du corps jusqu’à ce que je sois à genoux sur le lit. C’était vraiment inconfortable. Mais elle passa à la deuxième étape et me souleva le bas du corps aussi. J’avais compris; assez forte pour me maitriser, pas assez pour me soulever d’un coup, elle y’était allé en deux étapes.

J’étais maintenant suspendu dans les airs, à environ un mètre au-dessus du lit. J’étais non seulement totalement impuissant mais aussi totalement exposé. Ma tête tournait à toute allure en imaginant la nuit incroyable que je m’apprêtais à passer au-dessus du lit, nu et impuissant devant ma superbe prise dont maintenant j’étais la victime impuissante.

<< Voilà mon minet. >> me dit Valérie en me caressant à nouveau. Sous l’impulsion je me débattis un peu dans mes liens mais je ne parvins qu’à me faire balancer misérablement dans les airs. Elle se coucha sur le lit, sous moi, et repris ses caresses. Mais gémissements étaient éloquents quant à l’excitation que je ressentais. Évidemment elle ne me donna pas satisfaction.

Elle leva ses deux pieds pour les appuyer juste au niveau du sexe, et commença à me balancer en avant et en arrière. Je n’avais véritablement aucun contrôle, je me balançais dans les airs comme ça sans pouvoir y faire quoi que ce soit. Puis soudain elle m’arrêta d’un coup sec et repris es caresses, me pinçant les seins, et revenant caresser mon membre toujours tendu. Elle enfourna d’un coup mon sexe dans sa bouche, me faisant ressentir un délicieux mouvement de vas-et-viens. Les yeux mi-clos je me laissai transporter par elle : suspendu dans les airs, totalement impuissant et ressentant les cordes sur mon corps, je laissai ma superbe déesse me donner un plaisir tel que j’en ai rarement ressenti.

Elle me fit revenir à la limite de l’explosion pour s’arrêter de nouveau et me laisser dans un état de frustration incroyable. Je rouvris les yeux pour lui lancer un regard imprégner de ma frustration. C’est vrai qu’elle avait dû trouver ça insupportable de me subir comme ça pendant des heures!
Tout mon corps voulait, hurlait à la jouissance mais je ne pouvais me satisfaire. Mes liens ne me le rappelaient que trop.

Elle rit. Elle était calme et reposée, moi j’étais en feu. << Bonne nuit mon minet >> , me dit-elle le sourire aux lèvres. Je ne pouvais répondre. Elle éteignit la lumière et je me retrouvai dans le noir. Ça allait prendre un moment avant que je ne puisse enfin dormir. J’appréhendais déjà fortement la journée du lendemain…
__________________

****CHAPITRE 5******

Je pris un moment à réaliser ce qui se passait. J’ouvris péniblement les yeux pour découvrir Valérie sous moi, entrain de me caresser le sexe qui à nouveau se mit à prendre des proportions incroyables. Mes sens se mirent à nouveau en alerte en même temps que montait mon excitation. Quelle magnifique façon de se faire réveiller! Plus Valérie me caressait plus mon excitation montait, plus elle montait plus je ressentais ma totale impuissance, et plus j’étais excité. Mes gémissements gagnèrent en intensité, et cette fois mon corps fut parcouru d’une décharge électrique telle que je n’en avais jamais ressenti. Le hurlement que retint mon sévère baillon aurait traversé des kilomètres tant cette jouissance était bonne.

Je m’affalai dans mes liens épuisé, et fermai les yeux. Je m’endormis à nouveau s’en même m’en rendre compte.

Quand je les rouvris j’étais seul dans la pièce. À voir les reflets du soleil il devait être aux alentours de midi. La nuit me revient en tête : J’avais pris un long moment à m’endormir, préoccupé par mes idées grivoises, par l’angoisse de se retrouver impuissant devant celle qui était auparavant ma victime, et ma position pas trop rassurante. Mais dès que je me suis endormi, par contre, ce fut d’un profond sommeil.

Mes membres commençaient à être des plus en plus ankylosés. Si j’avais bien compté, ça faisait maintenant 12 heures que j’étais dans cette position! Comment j’avais fait pour endurer le bondage pendant aussi longtemps je l’ignorais, mais là il était clair que j’avais besoin d’un peu de lousse dans les cordes parce que ça devenait de plus en plus insupportable. Quoique, à bien y penser, il était peu probable que Valérie me détache.

Au bout d’un long moment elle revint dans la pièce, toujours nue, et me vit réveillé. Je lâchai aussitôt un << mmmmffff>> qui exprimait clairement mon désir de changer à tout le moins de position.

<< Mais oui je comprends, je suis d’ailleurs étonné que tu aies pu endurer un bondage aussi strict pendant autant de temps. Mais j’ai des projets pour toi mon petit! >> je gémis un nouveau << mmffff >> pas trop rassuré en attendant qu’elle impose la suite.

Elle défit d’abord les cordes qui me retenaient au plafond et je hurlai à travers le baillon alors que je tombai littéralement sur le lit pour rebondir sur le côté. Je n’avais aucun moyen de ralentir ou d’arrêter ma chute, sinon Valérie qui m’attrape pour me replacer sur le lit. Elle me détacha les jambes, et me remit debout, chancelant. Ça faisait un bien fou! Elle me poussa dans la cuisine pour m’asseoir sur ma diabolique chaise, en faisant passer mes bras derrière le dossier. Elle m’attacha les jambes de chaque côté avec les sangles de cuirs déjà en place puis défit le lien des coudes puis le harnais. Je gémis sous le plaisir que me procurait cette demi-libération. Après 12 heures ligoté aussi sévèrement avoir les coudes détachés faisait un bien fou. Mais elle me fit plier les coudes en relevant les bras vers le haut pour les attacher à d’autres sangles sur les côtés de la chaise. Valérie défit enfin le lien qui me retenait les poignets et sangla chacun d’eux sur un côté.

Elle me retira enfin le baillon. J’articulai la mâchoire pour rétablir la mobilité que j’avais perdu. << Merci >>dis-je.

<< De rien. On va manger et en profiter pour se connaître, un peu. Tout à l’heure pendant que tu dormais j’ai trouvé de quoi manger. En plus >>

Une délicieuse odeur embaumait la cuisine… Je vis, sur le four, un plateau sur lequel reposaient de délicieuses brioches à la cannelle. Elle le posa devant moi, sur la table, mais parfaitement inaccessibles…

<< Alors, t’es qui, toi >> me demanda t’elle

<< Euh…. . >> Avançais-je, incertain. << Je m’appelle Samuel tu peux m’appeler Sam. Je fais des sites web par-ci par-là pour gagner un peu ma vie, et rester travailler ici. J’ai 24 ans. Toi tu t’appelles Valérie c’est ça ? >>

<< Oui moi j’ai 25, bientôt 26. >> Elle vient s’asseoir à côté de moi, et saisi une brioche qu’elle approche de mes lèvres : << T’es vraiment un salaud, toi, mais t’es beau… T’es encore plus beau ligoté que libre, tu savais ça ? >> alors que je prends une bouchée de la brioche, elle approche son visage à côté du mien, je sens son souffle sur mon cou. << T’inquiètes, je vais bien profiter de toi, ces prochains jours… >> J’avalais de travers lorsqu’elle me pinça les seins du bout de ses ongles. Instinctivement j’eu un mouvement de recul mais je ne pouvais absolument rien faire. J’étais complètement plaqué sur la chaise et j’avais droit à aucun mouvement ! Entre mes jambes, mon cinquième membre se redressa à nouveau vers le ciel, ce qu’elle remarqua :

<< Oh ! Ça te plait en plus ! Attend on va t’arranger ça… >>

ET avant même que j’eu le temps de réagir elle me plaqua la main sur ma bouche et s’assis à cheval sur mes jambes. << mmmmmmfffffff >> , j’essayai de me dégager de la bouche en basculant la tête vers l’arrière mais elle plaqua sa main encore plus fort. Je balançai alors la tête dans l’espoir de me soustraire à son baillon, mais je sentis un effleurement à l’entre-jambe. Ma résistance tomba d’un coup, je redressai la tête pour voir que Valérie me caressait lentement, en me regardant d’un sourire en coin. Mon sexe en érection était à quelques centimètres d’elle, mais je ne pouvais pas bouger !!

Valérie enleva sa main de ma bouche tout en continuant à me caresser lentement. Elle ramena la brioche à mes lèvres, et je dus faire un effort surhumain pour arriver à en prendre une bouchée. Elle stoppa ses caresses pour continuer un peu partout sur mon corps, jusqu’à ce que je doive lui demander d’arrêter car je n’arrivais plus à manger! Elle me fixa alors une seconde ou deux, puis se releva assez rapidement. Je sentais qu’elle était déçue. Je la vis revenir avec mon rouleau de tape gris.

<< Non! Fais pas ça s’il-te-plaît! Je ne vais plus rien MMMPPPHHHH >>

Valérie était passer derrière moi pour plaquer solidement sa main sur ma bouche. De l’autre main elle déroula le tape à grande échelle, faisant un nombre interminable de tour autour de ma tête. Sur ce, elle se rassit à cheval sur mes jambes, et reprit doucement ses caresses tout en me pinçant les seins de son autre main. Elle me faisait littéralement fondre cette fille-là. Mes gémissements changèrent rapidement de tonalité sous l’excitation que ça me procurait.

J’étais au bord de l’explosion quand elle s’arrêta. Je gémis puissamment mon intense frustration en tirant sur les liens qui me retenaient. Évidemment c’était bien trop solide. Valérie s’assis de l’autre côté de la table, saisit une chaude brioche et la dégusta lentement, tout en me regardant de ce petit air malin. Je voyais bien qu’elle pensait à quelque chose à mon sujet. J’avais aucune idée de ce que c’était, mais je savais qu’elle comptait s’amuser avec moi. Et j’étais totalement impuissant à faire quoi que ce soit, ne serait-ce qu’à me dire quelque chose… Je sentis une nouvelle angoisse naissant dans mon ventre… qu’est-ce qu’elle me préparait ???

***** FIN CHAPITRE 5 *****

Chapelier Fou /Mad Hatter

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